Jeune combattant français très prometteur, Thomas Glot a pulvérisé son adversaire Parwaiz Arabzai hier soir au théâtre antique d'Orange, par le biais d'un sublime crochet du gauche dès le premier round ! Une performance qui a fait sensation auprès du public, et a ainsi permis à Thomas Glot de se faire largement remarquer !
Thomas Glot aime manifestement beaucoup Alex Pereira, puisqu'il s'est senti le besoin d'atomiser son adversaire avec un crochet du gauche qui rappelait énormément le coup signature du double champion de l'UFC !
Après seulement quelques minutes de combat, Glot a déchaîné la foudre sur Parwaiz Arabzai, lui infligeant un knockdown spectaculaire et le touchant plusieurs fois avant que l'arbitre ne doive intervenir au plus vite afin de stopper le combat. Une victoire éclaire, très impressionnante et à couper le souffle pour le jeune français !
En plus de faire valoir une très bonne gestion de la distance et de ses déplacements, Thomas Glot a également prouvé hier soir qu'il possédait un véritable toucher de la mort : capable d'éteindre un adversaire en une seule frappe bien placée !
Son arsenal semble donc s'étoffer, lui qui était jusqu'à présent habitué aux victoires par soumission et par décision. Il y a peu de temps, il partageait notamment sur Instagram l'un de ses secrets pour travailler sa lucidité dans la cage : se contraignant à ne pas quitter un espace donné lors d'un sparring de boxe, tout en exerçant sa concentration entre chaque round grâce au jeu de carte Dobble !
Une méthode très particulière et surprenante, qui semble toutefois avoir fait ses preuves : quand on voit la concentration et la réactivité incroyable de Thomas Glot lors de ce dernier combat à l'Hexagone MMA, on a presque envie d'essayer à notre tour cette méthode, qui a pour objectif de faire travailler la focalisation sur un objectif donné lors d'un combat !
En somme, une très belle victoire pour Thomas Glot, que l'on espère retrouver au plus vite dans l'octogone, face à un nouvel adversaire au moins aussi redoutable que lui !
Par Pierre Yan.
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