La rivalité entre Cédric Doumbé et Baissangour "Baki" Chamsoudinov semble sur le point de se raviver, après leur premier combat marqué par un incident inattendu : une écharde plantée dans le pied de Doumbé, qui avait mené à une interruption frustrante du combat. Depuis, les échanges sur les réseaux sociaux entre les deux combattants français n'ont cessé d'intensifier le trash-talk, et une revanche entre eux semble de plus en plus plausible !
L'incident de l'écharde mis à part, leur affrontement avait surpris de nombreux fans, car Baki avait réussi à tenir tête à Doumbé, un ancien champion du Glory en kickboxing, dans plusieurs échanges de striking ! Ce scénario inattendu avait beaucoup surpris le public, et une revanche pourrait en effet apporter une conclusion satisfaisante à cette rivalité…
Récemment, Doumbé a réagi aux propos de Baki concernant le niveau de boxe du rappeur Rohff, ce qui a relancé l'hostilité entre eux sur les réseaux sociaux. Baki a rappelé à Doumbé leur première rencontre et son succès inattendu durant certains échanges, attisant encore plus la tension entre les deux !
Booba, qui suit de près la scène MMA en France, a même annoncé vouloir parier 50 000 euros sur Baki lors de son prochain combat, peu importe l'adversaire, renforçant ainsi l'intérêt médiatique autour de cette potentielle revanche. De son côté, Baki a rassuré Booba en confirmant qu'un second duel contre Doumbé était effectivement en préparation !
Mais avant cela, il affrontera d'abord Oliver Enkamp (11 victoires pour 4 défaites) le 16 novembre prochain lors du Bellator Paris !
Doumbé, quant à lui, va probablement affronter Laureano Staropoli prochainement.
Avec cette tension grandissante, et un public avide de voir un dénouement clair entre ces deux phénomènes du MMA français, il est fort probable que ce combat suscite de nouveau une énorme attention médiatique.
Restera à voir si Doumbé pourra cette fois-ci imposer sa domination, ou si Baki continuera de surprendre les observateurs en tenant tête au redoutable "The Best"...
Par Pierre Yan.
Comments