Suite aux déclarations de Brendan Allen et Renato Moicano, qui accusent tous deux l'agence française de lutte antidopage de les avoir "harcelés" avant leurs combats contre Nassourdine Imavov et Benoît Saint-Denis, Dana White s'est exprimé en public, arguant qu'aucune forme de favoritisme n'avait été accordée aux combattants français !
Au cours d'une conférence de presse suivant le huitième épisode des Dana White's Contender Series, le patron de l'UFC a répondu aux accusations de Brendan Allen et Renato Moicano. Ceux-ci reprochent ensemble à l'agence française de lutte antidopage de les avoir "harcelés" avant leurs combats respectifs contre Nassourdine Imavov et Benoît Saint-Denis, en les empêchant notamment de quitter leur chambre d'hôtel avant de passer leurs tests, ce qui a grandement perturbé leur cycle de récupération après un weight-cut déjà très difficile.
Dana White a tenu à clarifier cette controverse :
"Il n'y a eu aucune corruption ni favoritisme lors de l'UFC Paris 3. Les commissions antidopage ont toujours l'habitude de faire poireauter les combattants pendant de longues heures, quand ils sont crevés, déshydratés, et au plus mal. C'est moche, mais cela n'a rien à voir avec un quelconque favoritisme envers les athlètes français. Je comprends pourquoi ils se plaignent, cependant."
Bien que les plaintes de Brendan Allen et Renato Moicano, qui semblent avoir très mal vécu la série de tests effectués par l'agence française de lutte antidopage, puissent être compréhensibles, Dana White rappelle que ce type de désagrément est malheureusement courant lors de la préparation des combats à l'UFC...
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