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UFC : Sean O'Malley décide de prendre une pause d'un an après sa défaite contre Merab !

Destitué de son titre de champion des poids coqs après avoir été largement dominé aux points par Merab Dvalishvili lors de l'UFC 306, Sean O'Malley a annoncé sur Instagram qu'il allait prendre une pause de 7 à 9 mois. Le temps pour Suga de se ressourcer et d'envisager une meilleure approche pour son grand retour…


Sean O'Malley sera probablement absent pour les 7 ou 9 prochains mois à l'UFC
Dans une vidéo publiée sur Instagram, Sean O'Malley annonce prendre du repos avant de revenir dans l'Octogone.

Il est clair que Sean O'Malley a pris une sacrée douche froide lors de sa dernière apparition dans la cage : humilié par Merab Dvalishvili, qui l'a complètement dominé au fil des rounds, O'Malley a tout simplement semblé hors de son combat, comme s'il n'était plus du tout le combattant vif et spectaculaire que l'on connaissait jusqu'à présent. S'il n'a cherché aucune excuse et a admis avoir livré une performance bien en deçà de ses véritables capacités, "Suga" a également affirmé qu'il souhaitait prendre une longue pause pour se remettre de cette défaite. Dans un message publié sur son compte Instagram, Sean O'Malley s'est confié sur la suite de sa carrière :




"On peut me prendre la ceinture, mais on ne peut pas me retirer le champion qui est en moi. Je ne suis pas spécialement fier de ma performance, mais je suis fier de mon état d'esprit. J'ai perdu les deux premiers rounds, puis j'ai remporté le 3e et le 5e. Je l'ai même fait courir comme une p****** durant le cinquième round ! En étant réaliste, je vais probablement être absent durant 7 à 9 mois. Je vais me remettre en forme et travailler sur quelques trucs. Je vous aime les gars, j'aime ce sport, et j'aime l'UFC. Je reviendrai bientôt !"

Une sage décision de la part d'O'Malley : bien que plusieurs combattants aient déjà laissé entendre qu'ils seraient très intéressés à l'idée de l'affronter, il semble préférable pour O'Malley de se reposer avant de reprendre le chemin de la cage.



Par Pierre Yan.

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